Le Réseau pour le Développement Intégral du Congo (REDIC), sous la coordination de Madame Patricia Maisha, organise ce mardi 15 avril un important Atelier-Conférence dans la salle polyvalente Marie Ange, au Secrétariat Général du Ministère du Genre à Kinshasa/Gombe.
Placée sous le thème central : « La souveraineté et la sécurité alimentaire assurées : un atout majeur pour la paix durable », cette rencontre scientifique et citoyenne se veut être un espace d’échange, de réflexion et de proposition de solutions concrètes aux problématiques liées à la sécurité alimentaire en République Démocratique du Congo.
Dans un contexte où le secteur de la pêche et de l’aquaculture en Rd Congo-Kinshasa reste sous-exploité, peu soutenu, et en manque criant d’investissements, cet atelier-conférence prend tout son sens. Pendant plus de six heures d’échange, les participants auront l’occasion d’aborder en profondeur les défis, mais aussi les opportunités que représente ce secteur stratégique pour l’économie et la paix sociale.
Madame Patricia Maisha, femme sociopolitique de premier plan, présidente de plusieurs organisations nationales et internationales, partagera sa vision à travers le REDIC. Elle présentera la mission, les objectifs et les actions de son organisation, notamment son engagement fort pour le développement du secteur de la pêche, un domaine longtemps négligé malgré son potentiel.
Au programme, plusieurs thématiques spécifiques viendront enrichir les échanges :
- « L’Apport de la femme à la sécurité alimentaire par les produits de pêche en Rd Congo »
- « Investir dans la pêche et l’aquaculture : opportunités d’affaires et création d’emplois »
- « La restitution de l’atelier tenu au Sénégal »
Ce riche programme positionne cet événement comme une initiative sérieuse, porteuse de solutions concrètes pour relever les nombreux défis de la Rd Congo dans le secteur de la pêche et de l’aquaculture.
À travers cette activité, le REDIC réaffirme sa mission : interpeller les autorités congolaises à investir davantage dans ce secteur vital, afin de créer des emplois, lutter contre le chômage et renforcer la souveraineté alimentaire du pays.
Par Bosco Kiaka


