Une rumeur circule depuis quelques jours sur les réseaux sociaux, prétendant qu’un prélèvement illégal de 15.000 FC serait imposé à chaque personne opérant dans les dépôts du marché frontalier de Lufu. Cette information, attribuant la mesure à l’administrateur du marché, monsieur Félix Bokutshu, sur ordre du ministre provincial du Commerce Édouard Samba, a été fermement démentie par les autorités concernées.

Selon monsieur Félix Bokutshu, ces allégations sont « totalement fausses et sans fondement », et relèvent d’une campagne de déstabilisation menée par des personnes mal intentionnées qui cherchent à ternir son image et à semer le trouble au sein de la population locale. Il affirme n’avoir jamais instauré une telle mesure, encore moins reçu un quelconque ordre en ce sens de la part du ministre provincial.
« Il s’agit de manipulations orchestrées par des acteurs politiques en mal de positionnement, qui visent à saboter le travail que nous accomplissons sur le terrain selon la vision du chef de l’État, Son Excellence Félix Tshisekedi », a déclaré monsieur Bokutshu.
L’administrateur du marché de Lufu appelle la population à ne pas prêter foi à ces rumeurs qu’il qualifie de malveillantes. Il réaffirme que les seules perceptions autorisées au sein du marché sont celles des taxes légales prévues par l’État congolais, notamment les taxes foncières et administratives régulières.
Il met également en garde les auteurs de ces fausses informations et promet des poursuites judiciaires contre quiconque chercherait à nuire à son administration ou à manipuler l’opinion publique.
« Nous continuerons à travailler avec les services de l’ordre pour garantir la sécurité et le bon fonctionnement de ce grand marché, dans l’intérêt des opérateurs économiques et de la population », a-t-il conclu.
Cette mise au point vise à rétablir la vérité et à calmer les inquiétudes croissantes au sein de la population, tout en dénonçant les tentatives de récupération politique sur des sujets sensibles.
Rédaction